Saturday, May 26, 2018

“ Most Christians are not born”.
Metropolitan Georges Khodr.


A chosen selection from “Most Christians Are Not Born”, a chapter of a book entitled “And If I Told the Ways of Childhood” written by Metropolitan Georges Khodr, the former Metropolitan of Byblos, Batroun and Mount Lebanon, and translated by father Robert Arida.  
Metropolitan Georges uses the third person, “my friend”, and not the first person “I.” More than a literary technique, “my friend” expresses a spiritual posture which enables Metropolitan Georges to stand apart from himself which, paradoxically allows for the intimacy needed to speak openly about himself and the world.

For a long time hope lived, but then came the time of disillusions. It is not enough for men to realize that they are to repent. For knowing that their passions lead to a disastrous fate, they do not cease to nurse them. They fall again into the same sins [either] through weakness or delight. Truly, they have very little interest in God. Moreover, many have no interest in him whatsoever. And nothing indicates that the bearers of the message, i.e. “the stewards of God’s mysteries” should be more profoundly anchored in divine things.

Saturday, May 19, 2018

“ Prenez donc garde à vous-mêmes”.
Archimandrite Touma Bitar.


En ce jour, la Sainte Église célèbre la mémoire des saints-Pères, qui se sont réunis au premier concile œcuménique, à la ville de Nice près de la ville de Constantinople. Le saint empereur Constantin faisait appel à ce concile nommé “le grand”, après avoir concerté avec certains évêques proches de lui, en ce qui concerne un enseignement étrange, que l’Église appelle “hérésie”. Ils se sont délibéré pour mettre fin au trouble causé par l’hérésie attribuée à un archimandrite Égyptien, nommé “Arius”.    
L’empereur  Constantin a pris l’initiative de convoquer les évêques de l’univers, c'est-à-dire le monde Byzantin, dans le temps. Il a voulu s’informer d’eux de l’enseignement officiel de l’Église Sainte Catholique Apostolique.

Saturday, May 12, 2018

Quelle est la différence entre la douceur et l’humilité.?!...
Mère Mariam Zacca.


Le Seigneur a dit : “Apprenez de moi car je suis doux et humble de cœur ”.
La douceur est un des dons que l’Esprit Saint accorde à l’homme à sa naissance…Certains Pères de l’Église considèrent que la douceur est accordée à des personnes choisies par Dieu et qu’Il connaît depuis qu’ils sont dans le ventre de leurs mères : « Du sein de ta mère je t’ai connu ». Le Seigneur connaît l’homme depuis qu’il se trouve dans les entrailles de sa mère et Il peut le choisir pour en faire un vase d’élection, Il lui accorde de nombreux dons spirituels pour qu’il puisse les développer dans ce monde en prenant le Christ comme modèle.

Saturday, May 5, 2018

“Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés…”
Père Lev Gillet


Père Lev Gillet : Prêtre et théologien orthodoxe français. Catholique de naissance, il fut reçu dans l’Église orthodoxe à Paris en mai 1928, par Mgr Euloge, responsable de l'Église russe en Europe occidentale, et en novembre 1928 il devient le recteur de la paroisse Sainte-Geneviève-de-Paris, la première paroisse orthodoxe francophone. En 1938, il quitte Paris pour s’installer à Londres, dans un premier temps dans le cadre d'un foyer s'occupant de jeunes réfugiés juifs et judéo-chrétiens de l'Europe centrale puis dans le cadre du Fellowship of Saint Alban and Saint Sergius, organisme œcuménique voué au rapprochement entre l’Église anglicane et l’Église orthodoxe. Il reste en Angleterre jusqu’à son décès, faisant de nombreux voyages à l’étranger, notamment en France, en Suisse et au Liban, où il participe au renouveau spirituel de l’orthodoxie antiochienne.

Jésus, pour s'arrêter au puits de Jacob, choisit l'heure où il sait que la Samaritaine viendra puiser son eau de chaque jour. C'est dans nos besoins quotidiens, - dans nos corvées quotidiennes, - que Jésus veut nous rencontrer.
« Va et appelle ton mari ... » Jésus était en train d'exposer à la Samaritaine le mystère de l'eau vive. Et voici qu'il interrompt son discours d'une manière en quelque sorte abrupte et met la Samaritaine en demeure de révéler la plaie de sa vie. La Samaritaine se borne à un demi-aveu balbutiant. Jésus va lui-même préciser les choses. Il met le doigt sur la plaie et la débride: les cinq maris successifs, le concubinage présent...