Intervention finale du P. Elias au Congrès
des Abbés Bénédictins à Rome (19 septembre - 2 octobre 1973).
L'Archimandrite Elias Morcos à Rome. |
Le rôle d’un observateur est d’observer, aurait dit Monsieur de la Palisse! mais encore, paraît-il, de faire observer: ce qui est plus difficile! Non seulement à cause des hommes, mais aussi à cause du manque de temps…
Je serais donc aussi bref que possible, mais si je ne suis pas très,
très bref, c’est que j’ai deux excuses: la première, que j’ai été plutôt
silencieux durant le Congrès, et le Père Abbé Primat me l’a reproché
discrètement; et la seconde, que c’est la première fois que des observateurs
orthodoxes prennent la parole dans un Congrès bénédictin.
Je
remercie d’abord, de tout cœur, le Révérend Père Abbé Primat de m’avoir invité
si aimablement à assister comme observateur orthodoxe à ce Congrès vénérable
qui m’a ouvert beaucoup d’horizons. Je remercie aussi tous les Révérends Pères
et Frères qui se sont donnés de la peine pour nous durant tout notre séjour
ici.
Voici mes impressions positives d’abord (quoi
que tout se mêle en général):