Saturday, February 27, 2016
Saturday, February 20, 2016
The need for a spiritual guide.
St.  Theophan the Recluse
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| Father Elias Morkos (+23 February 2011) the Spiritual Father of the Holy Trinity Family. | 
   But in actual fact, there are very few  such people. These are the chosen ones of God, who, in an incredibly rapid  burst away from themselves, gave themselves over into God's hands, were  received by Him and led by Him. Some examples are St. Mary of Egypt, St. Paul  of Thebes, St. Mark of Thrace and others. They were saved by one decisive  dedication of themselves to God. St. Mary of Egypt, in all of her cruel battles  with the passions, had one rule-to commit herself to God's hands; and her  passions abated, as we know, according to her struggle. Undoubtedly she did the  same in all situations: she turned to God for instruction and received it.
Saturday, February 13, 2016
Brièvement, Comment acquérir les vertus
  et s’abstenir des passions.
Saint Pierre Damascène (9 Février).
   Rien, dit le grand  Basile, n'enténèbre la réflexion autant que la malice. Et rien n'éclaire l'intelligence autant que la lecture dans l'hèsychia. Rien ne réduit la peine de  l'âme autant que la pensée de la mort. Rien ne fait secrètement avancer l'âme  comme le blâme de soi-même et le rejet des volontés propres. Rien ne mène  secrètement à notre perte comme la présomption et la suffisance. Rien n'écarte  autant de Dieu et de l'instruction de l'homme que les murmures de révolte. Rien  ne facilite autant le péché que la confusion et le bavardage.
Saturday, February 6, 2016
De la connaissance.
Saint Pierre Damascène (9 Février).
 Le principe de tout  bien est la connaissance naturelle qui nous est donnée par Dieu lui-même, ou  par les Écritures à travers un homme, ou à travers un ange; ou bien également  ce qui nous est donné par le baptême divin pour la garde de l'âme de chaque  fidèle, ce que nous appelons aussi la conscience, le souvenir des divins commandements  du Christ. C'est par eux, s'il veut les observer, que le baptisé garde la grâce  du Saint-Esprit. Après la connaissance vient en effet la libre décision de  l'homme. Celle-ci est le principe du salut : l'homme abandonne ses volontés et  ses pensées propres, et accomplit les pensées et les volontés de Dieu. Et s'il  pouvait les accomplir, il ne se trouverait dans toute la création aucune chose,  aucun geste, aucun lieu capables d'empêcher ce que Dieu a voulu qu'il soit dès  le commencement: un être à son image et à sa ressemblance, et un Dieu par  adoption, selon la grâce, impassible, juste, bon et sage, qu'il soit riche ou  pauvre, qu'il vive dans la virginité ou le mariage, qu'il ait le pouvoir et la  liberté, qu'il soit assujetti et esclave, bref en tout temps, en tout lieu, en  toute chose. C'est pourquoi on trouve nombre de justes autant avant la loi et  sous la loi que dans l'ordre de la grâce. Car tous ont préféré la connaissance  de Dieu et sa volonté, à leurs propres pensées et leurs propres vouloirs.  Réciproquement nous voyons qu'aux mêmes époques, engagés dans les mêmes gestes,  beaucoup se sont perdus. Car ils préférèrent leurs propres pensées et leurs  propres vouloirs à ceux de Dieu.
   Le principe de tout  bien est la connaissance naturelle qui nous est donnée par Dieu lui-même, ou  par les Écritures à travers un homme, ou à travers un ange; ou bien également  ce qui nous est donné par le baptême divin pour la garde de l'âme de chaque  fidèle, ce que nous appelons aussi la conscience, le souvenir des divins commandements  du Christ. C'est par eux, s'il veut les observer, que le baptisé garde la grâce  du Saint-Esprit. Après la connaissance vient en effet la libre décision de  l'homme. Celle-ci est le principe du salut : l'homme abandonne ses volontés et  ses pensées propres, et accomplit les pensées et les volontés de Dieu. Et s'il  pouvait les accomplir, il ne se trouverait dans toute la création aucune chose,  aucun geste, aucun lieu capables d'empêcher ce que Dieu a voulu qu'il soit dès  le commencement: un être à son image et à sa ressemblance, et un Dieu par  adoption, selon la grâce, impassible, juste, bon et sage, qu'il soit riche ou  pauvre, qu'il vive dans la virginité ou le mariage, qu'il ait le pouvoir et la  liberté, qu'il soit assujetti et esclave, bref en tout temps, en tout lieu, en  toute chose. C'est pourquoi on trouve nombre de justes autant avant la loi et  sous la loi que dans l'ordre de la grâce. Car tous ont préféré la connaissance  de Dieu et sa volonté, à leurs propres pensées et leurs propres vouloirs.  Réciproquement nous voyons qu'aux mêmes époques, engagés dans les mêmes gestes,  beaucoup se sont perdus. Car ils préférèrent leurs propres pensées et leurs  propres vouloirs à ceux de Dieu. 
